La meilleure façon d’éviter les blessures, c’est de respecter les règles édictées aux 3 chapitres précédents.
Soyez à l’écoute de votre corps, il vous envoie des signaux qui sont comme les voyants rouges d’un tableau de bord. Plus le traitement est commencé tôt, plus vite on est rétabli.
Soyez attentifs à la douleur, même à celle du lendemain que l’enthousiasme et les endorphines vous ont masquée pendant la course.
En cas de persistance, n’insistez pas, ça ne va pas passer tout seul, reposez-vous et consultez votre médecin.
Une semaine de repos n’entame votre forme que de 1%, ce qui est moins contrariant que l’arrêt prolongé auquel vous vous exposez et qui va vous plonger dans la déprime, vous faire battre votre chien, en vouloir au monde entier et pourrir la vie de votre entourage à cause de votre mauvaise humeur.
Où sera donc le caractère ludique dont il était question ?